29.06.2016 / Casino Basel - Le Métro
Brocken Back
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http://www.broken-back.com/Venue
Casino Basel - Le Métrohttp://www.grandcasinobasel.com
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http://www.z-7.ch
C’est en Aout 1990 que nait à Saint-Malo BROKEN BACK, de son vrai nom Jérôme Fagnet. Une enfance heureuse, un père médecin, une mère infirmière, une maison à deux pas de la plage de Saint-Malo, en bordure de la vieille ville d’intra-muros.
Une sensibilité à la musique, les cours de solfège, puis l’apprentissage d’un instrument peu commun : le tuba. Un parcours scolaire brillant, qui lui permet d’intégrer l’une des 5 écoles de commerce les plus prisées en France, l’EDHEC BUSINESS SCHOOL de Lille. S’en suivent des cours d’entrepreneuriat, de gestion, de relations internationales, et très vite une sensibilité pour la communication en ligne, et la stratégie digitale.
Après son stage chez BETC en planning stratégique, un bel avenir semble déjà écrit pour Jérôme qui, encore en études, est déjà fondateur et gérant de plusieurs startups.
Mais en 2012, un léger déplacement de vertèbres l’oblige, en convalescence forcée, à lever le pied sur cette carrière qui semble déjà lancée.
Jérôme ressort une guitare nylon du placard, et commence, à l’aide de « Logic », version plus élaborée du logiciel de musique d’Apple « Garage Band », à créer les premières démos de BROKEN BACK.
Il crée sa page Soundcloud et son profil Facebook, pour poster les « bounces » (mises à plat) de ses démos de morceaux tout juste finalisés. Très rapidement, une « fan-base » se crée. Des chaines Youtube en France et à l’étranger (The Vibe Guide, Get The Sound…) et des blogs influents le repèrent, repostent ses titres, élargissant chaque semaine un peu plus sa communauté. Des Djs de plus en plus reconnus (Klingande, Kygo, Thomas Jack) le contactent par Facebook pour lui demander de remixer ses titres. La démo de « Seven Words » atteint les 500 000 vues.
Au même moment, les premiers coups de fils de « business angels », puis diverses propositions de levées de fonds pour ses startups arrivent. Mais Jérôme choisit de céder ses parts, d’oublier les marques, le conseil en communication, pour se consacrer à la musique.
Il reprend le train vers Saint Malo, comme le raconte « Happiest Man On Earth » : « I belong to the roads now, Coming home to my old town […] Think I am the happiest man on earth », histoire de perfectionner la production de ses titres à l’aide de tutoriaux trouvés sur Youtube, et finalise son premier EP « Dear Misfortune, Mother of Joy ».
Référence explicite à ce projet musical, qui n’aurait sûrement jamais vu le jour sans ce burn-out physique, survenu à 22 ans…
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